Test du gaz carbonique.        

1. Lait de chaux
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La chaux éteinte ne présente pas risque pour les tissus biologiques.

Le remplit le bécher jusqu'à la moitié environ

On remue périodiquement avec un agitateur.

On obtient une suspension appelée «Lait de chaux»

 
2. Décantation.
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La chaux en suspension flocule rapidement

Sous l'effet de son propre poids la chaux se dépose au fond du bécher
Au dessus reste une supension légérement trouble
La décantation ne suffit pas à séparer rapidement la solution de la fraction solide.
3. Filtration.
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On filtre ce liquide suivant le protocole déjà étudié

Le filtre retient des boues formées de la chaux restée en suspension

Le filtrat recueilli semble semblable à de l'eau pure.

Ce qui reste à vérifier
 
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Un tube à essais est rempli à moitié  avec le filtrat
Le tube à dégagement est plongé jusqu'au fond du tube à essais.
Le tube à dégagement doit être plongé le plus profond possible pour allonger le parcours des bulles dans le réactif et augmenter ainsi la durée du barbotage
A l'aide d'une seringue un fait barboter de l'air rien ne se passe même si on insiste.
A l'aide d'un chalumeau, on expire lentement
         L'air expiré est chargé en gaz carbonique
Le filtrat se trouble, car on à reconstitué une partie du calcaire utilisé pour fabriquer la chaux vive
          Le filtrat n'était pas de l'eau, on l'appellera eau de chaux.
          L'eau de chaux servira à détecter la présence de gaz carbonique
A retenir ...

Lorsque l'eau de chaux est troublée par un gaz qui barbote il contient du gaz carbonique en notable proportion

 
© D.villafruela